Le team building insolite : sortir du confort pour retrouver le collectif
En 2025, le team building n’est plus un luxe, mais une nécessité stratégique. Selon le CRHA (2024), 68 % des entreprises québécoises jugent que la cohésion d’équipe est le principal facteur de rétention. Pourtant, 7 entreprises sur 10 continuent d’organiser leurs retraites dans des hôtels ou des salles de conférence. Or, les milieux clos favorisent rarement la créativité. Là où les idées se répètent, l’énergie retombe. C’est pourquoi un nombre croissant d’organisations choisissent la nature comme catalyseur de performance collective.

La Maison Viking des Toits du Monde est l’un des 7 hébergements insolites que propose l’entreprise, une nouvelle approche pour le team building!
Aux Toits du Monde, à Nominingue, l’équipe quitte le confort pour renouer avec le réel : monter une passerelle entre deux érables, cuisiner au propane, allumer un feu, marcher 300 m en forêt jusqu’à son hébergement perché. Chaque geste devient un apprentissage, chaque moment un levier de collaboration.
Actions clés pour gestionnaires :
- Choisir un environnement qui stimule l’autonomie et la solidarité.
- Intégrer la nature dans la culture de développement organisationnel.
- Redéfinir le confort comme une expérience humaine, pas matérielle.
Leadership à ciel ouvert : apprendre à diriger dans l’imprévu
Dans un monde post-pandémie, les équipes hybrides ont perdu une part de spontanéité. Le team building en milieu naturel permet de recréer ce lien. Les dirigeants apprennent à observer autrement, à écouter, à s’adapter.
Les cours de survie offerts aux Toits du Monde sont plus qu’un jeu : ce sont des formations de leadership expérientiel. Trouver de l’eau, préparer un feu, répartir les rôles : autant d’occasions de tester la communication, la confiance et la résilience du groupe.
Les chercheurs en management de l’Université Laval (2023) confirment que les apprentissages vécus en contexte réel se retiennent 5 fois plus longtemps que ceux issus d’ateliers traditionnels.
Ici, on apprend sans s’en rendre compte.
Actions clés :
- Favoriser les apprentissages expérientiels plutôt que théoriques.
- Transformer l’imprévu en outil de développement du leadership.
- Observer les comportements réels pour nourrir les évaluations RH.
L’écologie comme moteur de transformation organisationnelle

Les hébergements écologiques des Toits du Monde sont pensés pour reconnecter l’humain à l’essentiel, une approche qui rappelle la durabilité comportementale en RH
Les hébergements écologiques des Toits du Monde — cabane dans les arbres, maison du Hobbit, bateau pirate, tipi, tiny house — sont pensés pour reconnecter l’humain à l’essentiel. Éclairage solaire, poêle à bois, toilettes à compost : tout invite à ralentir, observer et réfléchir. Cette approche rejoint un courant RH émergent : la durabilité comportementale.
Selon une étude de Statistique Canada (2024), 59 % des travailleurs québécois souhaitent que leur employeur s’engage davantage dans des pratiques écoresponsables. Or, quoi de plus cohérent qu’une retraite d’équipe qui incarne ces valeurs ? Vivre dans un environnement sobre enseigne naturellement la gestion responsable des ressources — humaines, matérielles et énergétiques.
C’est une formation en durabilité organisationnelle, sans PowerPoint ni jargon.
Actions clés :
- Intégrer des activités nature dans la stratégie RSE de l’entreprise.
- Utiliser l’écologie comme levier de cohérence interne et externe.
- Favoriser les séjours à empreinte carbone réduite (transport collectif, circuits courts).
Une pédagogie de la résilience et du sens
Dans une économie en mutation, la résilience devient un pilier RH. Les retraites immersives comme celles des Toits du Monde agissent comme des simulateurs de crise en douceur. Sans Wi-Fi, sans réseau, les équipes apprennent à composer avec le silence, le manque et la débrouillardise.
Les résultats sont mesurables : selon une enquête interne menée auprès de groupes corporatifs en 2024, 91 % des participants affirment s’être sentis plus soudés après 48 heures dans la forêt. Les échanges sont plus sincères, les hiérarchies s’effacent, les idées circulent librement.
C’est une pédagogie de la lenteur : une école de la présence et de la simplicité. Et surtout, un rappel que le bien-être collectif ne se décrète pas — il se vit.
Actions clés :
- Planifier des séjours de 2 à 3 jours minimum pour favoriser la déconnexion.
- Prioriser les expériences partagées plutôt que les activités compétitives.
- Mesurer les impacts comportementaux (écoute, cohésion, initiative).
Organisation RH : la préparation fait partie du leadership

Les activités à forte charge émotionnelle sont celles qui génèrent le plus haut taux de fidélisation. Les Toits du monde propose des activités qui rapprochent et unifient les équipes.
Un séjour comme celui-ci se prépare stratégiquement. Avant le départ, l’entreprise peut créer une campagne interne d’engagement : compte à rebours, capsules « mystère », remise de trousses d’aventure (tuque, lampe frontale, carnet). Le coût d’une telle retraite, inférieur à celui d’un congrès (≈ 250 $/employé), permet d’ajouter des éléments symboliques et fédérateurs.
T-shirts aux couleurs de l’équipe, repas collectifs préparés par un chef invité, concours photos — autant d’initiatives qui prolongent l’esprit d’équipe bien après le retour.
Les experts de la CRHA (2024) le confirment : les activités à forte charge émotionnelle sont celles qui génèrent le plus haut taux de fidélisation (+32 % à 6 mois).
Actions clés :
- Préparer la retraite comme un projet culturel, pas logistique.
- Créer une communication interne mobilisatrice avant et après le séjour.
- Valoriser les apprentissages post-séjour dans la planification RH annuelle.
Conclusion stratégique : une aventure qui transforme l’organisation
Le team building en nature n’est pas un caprice, mais une stratégie d’adaptation. Les entreprises qui l’adoptent redécouvrent la puissance du collectif, la force du silence et l’intelligence du terrain. Les Toits du Monde ne proposent pas une pause — ils offrent une renaissance organisationnelle.
C’est un lieu où le travail d’équipe retrouve son sens, où la culture d’entreprise s’incarne. Et après une telle expérience, aucune entreprise ne repart exactement la même.
En 2025, les organisations qui survivront ne seront pas les plus grandes, mais celles qui auront appris à écouter, s’adapter et coopérer.
FAQ
- Combien coûte un séjour de team building aux Toits du Monde ?
Entre 175 $ et 250 $ par nuit selon le type d’hébergement et la taille du groupe. - Quelle est la capacité maximale du site ?
Jusqu’à 30 personnes réparties dans 7 hébergements écologiques. - Les activités sont-elles personnalisables ?
Oui : survie en forêt, disc golf, gelly ball, cueillette de plantes sauvages, etc. - Pourquoi choisir un site sans Wi-Fi ?
Parce que la déconnexion favorise la présence, l’écoute et la cohésion d’équipe.
Les Toits du Monde
Nominingue, Hautes-Laurentides
📞 873-659-2121 | ✉️ info@lestoitsdumonde.ca
🌐 lestoitsdumonde.ca
Références
- Les Toits du Monde (2025) — Hébergements écologiques et expériences de team building en nature, Nominingue, Laurentides.
- Institut de la statistique du Québec (ISQ, 2024) — Tendances emploi, bien-être au travail et cohésion d’équipe.
- Ordre des conseillers en ressources humaines agréés (CRHA, 2024) — Étude sur la rétention et la mobilisation post-pandémie.
- Statistique Canada (2024) — Comportements durables et engagement des employés au Québec.
- Université Laval (2023) — Recherche sur les apprentissages expérientiels et le leadership immersif.
- Union des municipalités du Québec (UMQ, 2023) — Leadership, attractivité territoriale et innovation RH en région.